Histoire des Gitans

Pendant la guerre sanglante qui opposa autrefois les puissant princes Lansfal, conduisant à l'avènement de Cedric de Mangraden à la Couronne, les terres de l'Empire étaient exsangues due aux terribles batailles qui ravageaient les contrées. La famine régnait et deux terribles hivers achevèrent de mettre l'Empire à genoux. Une parti de la population, la plus démunie, quitta le royaume dans une longue exode vers les terres plus hospitalières des cotes de l'est, sous les territoires de Nalj et s'y installèrent pour survivre. pauvrement certes, mais survivre toutefois. Même après la création de l'Empire sous la règne des Mangraden, ces expatriés continuèrent a vivre ainsi, ne pouvant s'installer en créant une citée ce qui aurait mis les Neandhal en colères, sans vraiment avoir le désir de revenir, se sentant de plus en plus distant de Ciceron. Ceci pérennisa pendant une centaine d'année et petit a petit, ces nomades développèrent une sous-culture Lansfal, un peu nomade, un peu empreinte des coutumes meandhales, basée sur la notion de famille et de respect des ancêtres passé. Ces coutumes se transformèrent petit a petit en un fort élan clanique, familial, et des aspects religieux plus tempérés que les aspect Lyséens.

La couronne regardais ce peuple évoluer peu a peu mais n'y vit aucune menace puisqu'ils étaient paisible et respectaient l'Empire, commerçant même avec lui parfois.

 Ce peuple était heureux de sa vie , mais rien ne dure jamais longtemps. Les premières guerres Lansfalo-Gorkan commencèrent alors a ravager le territoire et ils durent abandonner leur mode de vie pour se réfugier derrière les murs de Ciceron. Ils restèrent, par fierté, hors de la ville, malgré leur détresse profonde. Ils avaient encore une foi tout perdu mais leur orgueil leur interdisait de demander plus qu'une place ou poser leur tentes et caravanes. Depuis, les gitans sont dans leur quartier à Ciceron, restant entres eux. Leur réputation les a cantonné a rester ainsi, un peu mis a part, de leur propre volonté et par fierté. Ils n'ont que peu de ressources mais s'en contentent et ils tentent de conserver leur dignité et leur coutumes maintenant propres. Ils restent dévoué a l'Empire mais se sentent différent des autres Lansfals et ils le sont, en fait, un peu.
 

Aspect


Ils sont vêtus de vêtement colorés, souvent rouges, couleur de l'espoir pour eux . Les femmes affectionnent les robes a " l'andalouse" et les hommes le bandana . Ils portent rarement des armures, préférant se sentir a l'aise dans leurs mouvements.

Leur langage est Lansfal, mais très imagé et exubérant, avec des pointes de tournure de phrases un peu hispanisantes. Les hommes portent souvent la moustache ou la barbe pour les plus vieux, les femmes laissent leurs cheveux cascader librement.



Us et Coutumes


La famille est tout pour les gitans et le chef de famille règne. Souvent, c'est l'aîné, le patriarche, mais dan certaines familles, c'est la femme la plus âgée qui dirige. On écoute et respecte les paroles du chef de famille sans se poser de question . Un Chef de clan, le plus prestigieux de respecté des chef de familles, dirige la petite communauté in formellement. Ce titre n'a aucune valeur pour les autorité Lansfals mais la garde a appris a discuter avec ces personnes là, les chef de familles et le chef de clan, pour résoudre des problèmes autrement que par la violence ou l'emprisonnement.

Les gitans acceptent mal une autorité autre que la leur sur leur propre campement. La Légion est tout de même bien accueillie et respectée mais leur présence dérange mais ils sont invité cordialement auprès du grand feu s'ils laissent de coté leur prérogatives, leur uniforme et leur arrogance. Un invité est sacré et sera protégé par les armes s'il le faut, ou caché. D'un autre côté, rejeter les lois de l'hospitalité gitane en insultant les hôtes et toujours signe de problèmes.
Cependant, gare a l'intrus qui entre au village sans avoir été préalablement invité. L'intrus fera alors fasse à lui un village sans bruit, épié par tous, hostile. On dit que certains intrus trop curieux n'en sont jamais revenus... mais ce ne sont que des ouï-dires.

La forme la plus courante d'affrontement est très souvent verbale, les gitans ont le verbe haut. Ils savent toutefois que certaines limites ne sont pas a franchir et évitent d'aller trop loin, que ce so
it entre eux ou avec les gens autres. La galanterie est très poussée chez les gitans et il en faudra énormément pour que l'un d'eux porte la main sur une femme ou un enfant, au moins des menaces claires de mort et à main armée. Pour un gitan , la parole donnée est sacrée, la trahir peu aller jusqu'au bannissement du camp gitan.

Ce peuple est très festif et organise de grandes fêtes régulièrement avec des chants, danses, concours de lancer de couteaux ou de combat d'animaux. Une coutume étonnante est celle du contage d'histoire au coin du feu où tout prennent la parole pour raconter une histoire ou une légende, véridique ou non, mais toujours pleine d'aventures et de mystères.
 

 

 

 

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